
Ainsi, avons-nous encore relevé :
* les draps en "L" sont très pratiques : ils cachent la poitrine de Madame, mais mettent en valeur le torse de Monsieur (sauf s'il est gras et / ou trop velu). Cette curieuse pudeur est réservée au spectateur, pas au Monsieur qui vient de s'envoyer la dame.
* en matière d'argent, les héros paient rarement (l'épicier, le taxi, le restaurant). Et même, quand ils sont très pressés, ils sortent un billet au hasard de leur portefeuille, et il n'y a jamais de monnaie à rendre.
* les draps en "L" sont très pratiques : ils cachent la poitrine de Madame, mais mettent en valeur le torse de Monsieur (sauf s'il est gras et / ou trop velu). Cette curieuse pudeur est réservée au spectateur, pas au Monsieur qui vient de s'envoyer la dame.

* à propos de taxi, il suffit de lever la main pour qu'il en apparaisse un (à titre d'exemple, il y en a plus à Paris qu'à New York).
* dans les films de science-fiction, le son se propage, et les vaisseaux atteints par les tirs disparaissent dans de splendides combustions (impossible dans l'espace : ni son ni combustion),
* les policiers qui vont par deux ont toujours des caractères et des physiques diamétralement opposés : le dragueur / le père de famille, le jeune / le vieux, le blanc / le black, l'intellectuel / le combatif, etc.
* dans les films "familiaux", la mère prépare, levée avant les autres, un déjeuner pantagruélique. Malheureusement pour elle, son mari et les enfants sont toujours en retard ou pressés et n'ont pas le temps de manger ;
* dans les films "historiques", le brushing existait déjà ; de même, les dentitions sont parfaites.
* dans beaucoup de vieux films, les scènes simulées dans une voiture impliquent que le conducteur tournicote régulièrement son volant, bien que la route soit parfaitement droite, et que de toute façon, il ne la regarde même pas.
* dans les films d'arts martiaux (gentiment appelés "série B"), le héros se retrouve soudain face à un groupe de grosses brutes, et il est en nette infériorité (dans le meilleur des cas, il est accompagné d'une fille qui crie "au secours" par la fenêtre). Mais par chance, les ennemis attendent patiemment d'attaquer un à un, en dansant autour du héros de manière menaçante, jusqu'à ce que le prédécesseur se retrouve au tapis (plutôt que d'attaquer à six d'un coup).
* toute personne en plein cauchemar s'en réveille droit comme un piquet et en haletant.
* porter un gilet pare-balles vous rend invulnérable : et oui, les méchants sont trop bêtes pour viser la tête ou les jambes.
* dans les films sur la seconde Guerre Mondiale, on ne parle pas allemand: avoir l'accent suffit.
* très souvent, quand un assassin ou un Méchant rôde dans une maison, l'héroïne qui rentre ne s'aperçoit de rien et ne songe qu'à prendre sa douche ou se couler un bain.
* et nous en finirons avec cette scène récurrente à mourir, mais inusable entre mille : dans les films américains, les garçons pré-pubères jouent tous au volley ou au basket-ball ; les filles font de la danse ou décrochent le rôle principal du spectacle de fin d'année. Immanquablement, l'un des deux parents (souvent le père) s'engage à être présent mordicus au match / au spectacle, mais inévitablement, ne vient pas ou arrive trop tard. Ce qui déclenche une grande déception ou une grosse colère chez l'enfant, et une prise de conscience extraordinaire pour le parent incriminé.
* dans les films de science-fiction, le son se propage, et les vaisseaux atteints par les tirs disparaissent dans de splendides combustions (impossible dans l'espace : ni son ni combustion),
* les policiers qui vont par deux ont toujours des caractères et des physiques diamétralement opposés : le dragueur / le père de famille, le jeune / le vieux, le blanc / le black, l'intellectuel / le combatif, etc.
* dans les films "familiaux", la mère prépare, levée avant les autres, un déjeuner pantagruélique. Malheureusement pour elle, son mari et les enfants sont toujours en retard ou pressés et n'ont pas le temps de manger ;

* dans beaucoup de vieux films, les scènes simulées dans une voiture impliquent que le conducteur tournicote régulièrement son volant, bien que la route soit parfaitement droite, et que de toute façon, il ne la regarde même pas.
* dans les films d'arts martiaux (gentiment appelés "série B"), le héros se retrouve soudain face à un groupe de grosses brutes, et il est en nette infériorité (dans le meilleur des cas, il est accompagné d'une fille qui crie "au secours" par la fenêtre). Mais par chance, les ennemis attendent patiemment d'attaquer un à un, en dansant autour du héros de manière menaçante, jusqu'à ce que le prédécesseur se retrouve au tapis (plutôt que d'attaquer à six d'un coup).

* porter un gilet pare-balles vous rend invulnérable : et oui, les méchants sont trop bêtes pour viser la tête ou les jambes.
* dans les films sur la seconde Guerre Mondiale, on ne parle pas allemand: avoir l'accent suffit.
* très souvent, quand un assassin ou un Méchant rôde dans une maison, l'héroïne qui rentre ne s'aperçoit de rien et ne songe qu'à prendre sa douche ou se couler un bain.
* et nous en finirons avec cette scène récurrente à mourir, mais inusable entre mille : dans les films américains, les garçons pré-pubères jouent tous au volley ou au basket-ball ; les filles font de la danse ou décrochent le rôle principal du spectacle de fin d'année. Immanquablement, l'un des deux parents (souvent le père) s'engage à être présent mordicus au match / au spectacle, mais inévitablement, ne vient pas ou arrive trop tard. Ce qui déclenche une grande déception ou une grosse colère chez l'enfant, et une prise de conscience extraordinaire pour le parent incriminé.