


DO (anciennement UT) - RÉ - MI - FA - SOL - LA - SI. Et après on recommence, mais ce qu'on appelle une gamme plus haut (et encore après, du haut-de-gamme - mais là, c'est autre chose). Je vous sais brûlants de connaître leur origine.
Guido d'Arezzo — en français parfois Gui d'Arezzo, ou Gui l'Arétin — est un moine bénédictin italien, né vers 999 et mort après 1033, d'après certaines sources le 17 mai 1050. Le lieu de sa naissance reste sujet à conjecture. Guido d'Arezzo est l'auteur du Micrologus — copié 17 fois jusqu'au XVIe siècle. On lui doit également la main guidonienne sur laquelle sont placées les claves, et qui, dans le domaine du solfège, équivalait à un instrument de musique — elle permettait de visualiser plus facilement les intervalles et de jouer de la musique, même sans instrument.

Professeur de musique et grand pédagogue, il est à l'origine du système occidental de dénomination des notes de musique. Guido d'Arezzo a également apporté sa contribution à la traduction des mélodies au moyen de son invention nommée "hexacorde", ancêtre de la portée actuelle, où chaque note avait une position absolue et non plus relative comme dans les neumes. Pour nommer les six degrés de son hexacorde, Guido d'Arezzo a utilisé les premières syllabes d'un chant religieux latin, l'Hymne à saint Jean-Baptiste, dont le texte est attribué à Paolo Diacono.
" Ut queant laxis
" Resonare fibris
" Mira gestorum
" Famuli tuorum,
" Solve polluti
" Labii reatum,
" Sancte Ioannes.
Bien: maintenant, à vous de trouver ce qu'on peut faire avec les autres notes que le LA (mais qui lui aussi, peut servir à autre chose).


Professeur de musique et grand pédagogue, il est à l'origine du système occidental de dénomination des notes de musique. Guido d'Arezzo a également apporté sa contribution à la traduction des mélodies au moyen de son invention nommée "hexacorde", ancêtre de la portée actuelle, où chaque note avait une position absolue et non plus relative comme dans les neumes. Pour nommer les six degrés de son hexacorde, Guido d'Arezzo a utilisé les premières syllabes d'un chant religieux latin, l'Hymne à saint Jean-Baptiste, dont le texte est attribué à Paolo Diacono.

" Resonare fibris
" Mira gestorum
" Famuli tuorum,
" Solve polluti
" Labii reatum,
" Sancte Ioannes.
Bien: maintenant, à vous de trouver ce qu'on peut faire avec les autres notes que le LA (mais qui lui aussi, peut servir à autre chose).

1 commentaire:
on nique au la
on aere au sol ....et puis quoi encore
on ré-sine on fa-bule bande de
mi-nable j'vais do-mi-ner ce post ..non mais !!si! si-do-ni......
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