vendredi 26 décembre 2008

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS DUOS

Et heureusement, il a ceux qui sont
juste restés marqués par une époque :




Il s'agit de C.C. DONNY et de Mary OSMOND qui interprètent "winter wonderland", dans un clip d'archives des émissions spécial Noël des multiples chaînes de TV américaine, datant de 1976.
Nous apprécierons la grâce diaphane de la chanteuse, et les splendides dents blanches du chanteur, blancheur rehaussée par son éclatant col roulé. Ne ratez pas l'instant où elle manque de choir dans un ruisseau gelé.
ICI s'arrête notre calendrier, rendez-vous en 2009 après inventaire de fin d'année.

jeudi 25 décembre 2008

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS "JOHNNY DE NOËL"

Heureusement, on a retrouvé parmi les meilleures euh... perles de notre chanteur national (voire international) :



Une chansonnette improvisée, qui n'a pas marqué les esprits (étonnant), mais qui explique à quel point Jean-Philippe a beaucoup souffert lors des Noëls de son enfance... (archive télé O.R.T.F., 1973)

Après le calendrier de Lave An,
c'était le calendrier d'au jour d'huître, NOËL.
A demain pour le calendrier de l'âpre haie.

mercredi 24 décembre 2008

IL Y A LES BONNES ET LES MAUVAISES DINDES

Heureusement, il y a celles qui paient les pizzas
pour échapper à leur triste et mauvais sort :




Le retour des "têtes à claques" avec "beautiful Noël" (légèrement sponsorisé par SFR), on ne s'en lasse pas... A demain pour la suite de notre calendrier du jour-même.

mardi 23 décembre 2008

IL Y A LES BONNES ET LES MAUVAISES "PREMIÈRES FOIS"

Heureusement, on a retrouvé la "première fois" que l'on a filmé un traîneau glissant dans les rues d'une ville :




Ce petit film (à l'instar des débuts balbutiants des frères LUMIÈRE) de 1897 est de courte durée, et vu l'époque, forcément muet. Inutile de taper sur votre "carte son".
Il a été tourné en Amérique par Thomas Edison, qui n'a pas vraiment réussi dans le cinéma. Mais bon, il a inventé l'ampoule qui a éclairé le premier projecteur.
A demain pour le dernier jour de notre calendrier de Lavant.

lundi 22 décembre 2008

IL Y A LES BONNES ET LES MAUVAISES CHANTEUSES

Heureusement, on en trouve toujours de bonnes,
même si elles ne sont pas très connues :




Il s'agit de JOJO, chantant un medley de "sleigh ride" et de "Christmas song" au spectacle de la Maison Blanche (à Washington), 2004. Comparez, en quelques lignes, les différences d'époque et de culture avec le Noël de l'Elysée publié hier.

A demain pour la suite de notre calendrier de l'évent.

dimanche 21 décembre 2008

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS ARBRES DE NOËL À l'ELYSÉE

Heureusement, voici les traces d'une vieille cérémonie
avec plein d'enfants très impressionnés :



ARBRE DE NOËL à l'ELYSÉE avec Mr et Mme POMPIDOU
(sources : O.R.T.F. déc. 1969, archives INA)
Y en a-t-il eu un cette année à l'Elysée ? Qui était invité ? Les grossesses en court sont-elles prises en compte pour un cadeau de naissance ?

samedi 20 décembre 2008

IL Y A LES BONNES ET LES MAUVAISES PUBLICITÉS

Heureusement, il y a celles qui sont toujours bonnes :



("le cheval pétomane" pour BUD LIGHT, du groupe BUD WEISER - et son célèbre spot "waz up" de l'an 2000, suivi d'une étonnante suite en novembre 2008 ("huit ans après"), sous forme de spot publicitaire pour Barak OBAMA).

vendredi 19 décembre 2008

même en hiver, la nature est belle...




(pas trop fort le son, vous pourriez vous endormir)

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS SAPINS - 2

Malheureusement, il y a ceux qui brûlent trop vite :

(prévention incendie)
A demain pour la suite de notre calendrier de LA VENTE.

jeudi 18 décembre 2008

IL Y A LES BONNES ET LES MAUVAISES ILLUMINATIONS

Heureusement, dans le cas présent, c'est époustouflant et un travail de fou (si tant est qu'il n'y ait pas de trucages en images).



A priori réalisé par un particulier très "patriote"
(vue sur le www.malgusto.com, site espagnol)
A demain pour la suite de notre calendrier de Lavande.


mercredi 17 décembre 2008

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS CHATS

Bon : dans le cas présent, ce ne sont pas les meilleurs...
Essayez de tenir jusqu'au bout.

...Mais ils ont le mérite d'avoir essayé de "chanter".
(JINGLE CATS, "white Christmas")

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS NOËLS DE FRANCE

Heureusement, voici des archives pour le prouver :

Merci, l'Institut National des Archives (INA - audiovisuel)

INA, "Noëls de France" (1948)
Actualités Françaises : Noël en Alsace, en Bretagne et au Pays Basque

mardi 16 décembre 2008

Il Y A LES BONNES ET LES MAUVAISES SÉRIES

Heureusement, ce fut vrai en tout temps...


Et il n'y a pas si longtemps encore : extrait d'un épisode de
"Ally Mac Beal".

A demain pour la suite de notre calendrier de l'avent.

lundi 15 décembre 2008

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS ACCENTS

Heureusement, on en trouve encore des bons :


TÊTES À CLAQUE, "le Père Noël"

Notre calendrier de l'avent continue avec une vidéo "spécial Noël" tous les jours.

dimanche 14 décembre 2008

IL Y AVAIT LES BONS ET LES MAUVAIS GIRLS BAND

Et heureusement, les archives le prouvent :


PUSSYCAT DOLLS "Santa Baby"
Hélas, il y a de moins en moins de fantaisie dans la création artistique pour NOËL.

vendredi 12 décembre 2008

IL Y A LES BONS ET LES MAUVAIS SAPINS

Heureusement, on s'en est aperçu assez tôt :

Un bon sapin s'achète chez...

mercredi 10 décembre 2008

LE PREMIER INSTRUMENT DE MUSIQUE ÉLECTRONIQUE



On pouvait s'imaginer que la musique dite "électronique" (donc : faite sans instruments classiques et traditionnels, hein, on précise bien pour ceux du fond qui ne suivent pas) serait apparue en même temps que les premiers crédits d'état à la recherche en sonorités électroniques. Comme cela s'est produit en France, dans les années 50 et 60, au profit par exemple de
Pierre Henry, pionnier de l'électro-acoustique, et auteur du toujours actuel "Psyché Rock", régulièrement remixé).

Eh bien non : fin 19e, les premières recherches en électronique suivent de peu la banalisation de l'électricité et c'est presque par hasard qu'on découvre qu'on peut en tirer des sons, mais des sons difficiles à maîtriser. Quelques inventions ludiques ou loufoques apparaissent alors pour demeurer au stade de curiosités de foire.

C'est un ingénieur russe, Lev Termen (Léon Thérémin en francisé), qui crée la première version "pratique et harmonieuse" : le THEREMINE, qui, en plus, a ceci de particulier qu'on ne le touche pas (voir vidéo ci-dessus) ! Les sons sont produits uniquement par les mains du musicien qui bougent autour de l'appareil et de ses deux antennes.

Avec son invention, présentée à la sortie de la Révolution Russe, Léon Thérémin séduit LENINE et est envoyé un peu partout comme ambassadeur de la nouvelle technologie soviétique. Hélas pour lui, il tarde à rentrer au pays et est secrètement enlevé pour être détenu en Sibérie ; sa mort est même officiellement annoncée.

Par la suite, cet instrument sert encore longtemps, et les progrès rapides des sons électroniques n'ont pas raison de lui pour autant.
Le thérémine sonorise beaucoup de films de science-fiction des années 50 : des bruits de moteur des soucoupes volantes, aux premiers "ordinateurs sonores" (un exemple flagrant avec le générique de début et tout le bruitage du film de planète interdite).
Des compositeurs s'y essaient, de même que des maisons de disques sortent des compilations d'airs classiques joués au thérémine. En revanche, sa commercialisation n'aboutit pas et son utilisation "domestique" reste un échec, car complexe.

Son ultime réussite, néanmoins, est que même si on ne parle pas tous les jours du THEREMINE à table (un drame cuturel passé sous silence), l'instrument a servi à toute époque et sert encore : de Jacques Brel à Zazie en passant par les Beach Boys... en voici quelques exemples en cliquant ici ou .
Léon Thérémin est décédé à 97 ans, en 1993.

mardi 9 décembre 2008

FAÇONS DE PARLER - 1

AMOUR...
Quelques exemples :
- "j'M le Kfé", écrit le mordu de SMS.
- "je t'aime", dit l'amoureux transi.
- "je nous aime", dit l'égoïste pour deux.
- "je vous aime tous", dit le philantrophe.
- "je m'aime", dit l'égoïste tout seul.
- "nous m'aimons", dit l'égocentrique en phase terminale.
- "j'aime pas ça", crie le Schtroumpf grognon.
ATTENTION :
Contre exemple :
- "j'adore votre robe", dans la bouche d'une (vieille) comédienne, n'est ni un compliment, et encore moins une preuve d'affection.
- "passe-moi le sel, tu es un amour" : ne vous y fiez pas. On se demande d'ailleurs ce que vous serez quand vous passerez le caviar.
EXCEPTION :
- "M" est un chanteur.

LE COEUR A SES RAISONS...

Ce n'est que tardivement que j'ai découvert cette prodigieuse série. Elle provient du Québec et comporte trois saisons de 13 épisodes de 20 mn chacun (de 2005 à 2007). Rassurons tout de suite les réticents à l'accent : il n'y en a pas.
Cela fait bien longtemps qu'humour, dérision et parodie ont déserté nos postes TV français (d'ailleurs tout ce qui méritait le nom de "télévision" est déclaré "espèce en voie de disparition"). Or, pour cette fois l'importation est réussie. Les feulletons fleuves sont la cible de cette création loufoque, et on y retrouve les mêmes ingrédients :
- personnages récurrents constitués en clan familial (les MONTGOMERY),
- rebondissements réguliers et répétitifs,
- situations inextricables en général faites d'amours impossibles, de filiations secrètes et autres révélations tardives,
- dialogues démesurément emphatiques.
Le tout est nappé d'une sauce composée de frénésie, d'invraisemblances et de répliques très étudiées : rien n'est laissé au hasard, le moindre détail tue.
La perfection n'existant pas, on peut y trouver quelques lourdeurs liées au comique de répétition ou à une inégalité de rythme (c'est souvent le problème dû au fait de regarder plusieurs épisodes en une seule fois, plutôt qu'à raison d'un épisode par semaine, comme cela est conçu initialement).
A titre de cadeau anticipé, voici un extrait "phare" de la deuxième saison.