Il y a quelques matins, m'enquérant du courage d'aller chercher le pain vers 7h, j'eus la stupeur d'entendre, en conclusion de conversation avec la boulangère, Mme B., 82 ans dire : "enfin vous savez, c'est plus facile de toucher la bite d'un homme que d'atteindre son coeur".
J'étais sidéré, d'autant plus que la dame en question est très cultivée et de classe correcte, et en considérant son âge, je me suis dit qu'elle avait bien vécu, sans doute.
J'étais sidéré, d'autant plus que la dame en question est très cultivée et de classe correcte, et en considérant son âge, je me suis dit qu'elle avait bien vécu, sans doute.