Et en ce moment, de l'eau, faut dire qu'il y en a !... Après le "Nicolas le jardinier" de Santenay, voici la "Eveline Dhélia" Seine et marnaise... Alors, oui, y'a des fleu-fleurs mais y' aussi un putain de temps pourri (je sais, je sais, c'est les giboulées... mais c'est quand même pénible) Seul le 1er avril et son cortège de bonnes blagues aurait pu relever le niveau de cette semaine ! Et ben RIEN, nada ! (exceptés les 2 poissons collés d'une main lourde et malhabile dans mon dos et le "oh maman, y a une vache dans le jardin !" de mon fiston-à-moi... mais entre nous, je savais que c'était même pas vrai...) J'ai passé ma journée aux aguets, déterminée à ne rien croire... en pure perte ! (trop triste !) En fin d'après-midi, miracle, je reçois un coup de fil d'une voix bégayante : "bon-bonjour, c'est Jean-Marie Dondon, du foi-foyer"... Hihi, ça y est, trop drôle, je réponds donc, goguenarde "bon-bonjour, Monsieur Dondon !"... mais non, c'était très sérieux et j'ai dû soutenir une "vraie" conversation en maitrisant un fou-rire (c'est déjà ça !)
Tout va à vau-l'eau, j'vous dis (j'adore cette expression !) Manquerait plus qu'on me dise que Oui-Oui est pédophile ! (Déjà que Martine - la chère Martine de mon enfance - devient lesbienne et cache des cadavres.. pffff...)
Vivement la semaine prochaine !
Tout va à vau-l'eau, j'vous dis (j'adore cette expression !) Manquerait plus qu'on me dise que Oui-Oui est pédophile ! (Déjà que Martine - la chère Martine de mon enfance - devient lesbienne et cache des cadavres.. pffff...)
Vivement la semaine prochaine !
3 commentaires:
Chérie, détends-toi, on te sent perdue. Rassure-toi, il ne fait pas moche partout. Et merci beaucoup d'avoir écrit, je commençais à me sentir seul. Point de Nicolas ici, que des jardiniers. Et cette brave Martine n'a pas changé (si ce n'est que, selon la dernière trouvaille, elle a acheté un congélateur pour y cacher ses enfants).
cher cousin, c'est la croix et la bannière pour te répondre!
je consulterai régulièrement ton blog!
bisous
Ah ! Et une nouvelle amie parmi nous, en la personne de ma cousine (si si, c'est pour ça qu'elle m'appelle "cousin"). Nous sommes tous les deux "ch'tis", ce qui est (enfin) une valeur montante.
Véronique, si tu veux écrire aussi, je t'invite quand tu veux. Bisettes,
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